Des chercheurs de Carbone boréal (@UQAC) ont comparé la croissance en serre de trois espèces de conifères (mélèze laricin, pin gris et épinette noire) et leur interaction à différents niveaux de densité et de disponibilité en azote.
Bien que le mélèze laricin démontre la plus forte croissance apicale et bénéficie le plus de la fertilisation azotée en monoculture, le pin gris s’est révélé être l’espèce la plus productive dans les pots contenant deux et trois espèces, en particulier dans des conditions de forte disponibilité en azote.
Ces résultats ne s’appliquent pas directement aux arbres matures, mais ils permettent de comprendre les interactions entre ces trois espèces dominantes de la forêt boréale, lors des premiers stades de l’établissement des semis dans les plantations mixtes de conifères et les peuplements régénérés naturellement.
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