En plus de nouvelles plantations en milieu agricole et un nouveau projet sur la séquestration du carbone par des haies brise-vent, les membres de l’équipe de recherche Carbone boréal sont à pied d’oeuvre sur le terrain. Faisant fi des mouches noires et de la météo ils collectent des données sur plusieurs plantations afin de: quantifier la régénération naturelle due au scarifiage (travail du sol), faire des suivis des arbres 10 ans plus tard, préciser la séquestration de carbone après 20 ans et prendre plein d’autres mesures qui nous aideront à mieux comprendre comment les arbres et la forêt contribuent à la lutte aux changements climatiques. Merci aux chercheurs, professionnels et étudiants qui, par leurs efforts, font avancer la science.